Aperçu des arrêts fiscaux du Tribunal fédéral suisse publiés entre le 29 septembre et le 5 octobre 2025 :
- Arrêt du 03 septembre 2025 (9C_333/2024) : Impôt fédéral direct et impôts cantonaux et communaux 2019 (Nidwald) ; rappels d'impôts ; Le litige portait sur la question de savoir si l'instance précédente avait confirmé à juste titre que le recourant avait effectivement encaissé CHF 340'000 provenant d'une activité d'intermédiaire ou si, comme il le prétendait, il avait simplement reçu ce montant pour un tiers. Dans le cadre d'une enquête policière, le recourant a indiqué dans un procès-verbal qu'il avait reçu le montant mentionné à titre de commission pour la vente de parts sociales de la société C. GmbH. Etant donné que le recourant n'a avancé la remise de l'argent à un tiers qu'à un moment tardif de la procédure de rappel d'impôt, le Tribunal fédéral n'a pas reconnu de violation du droit de la part de l'instance précédente, qui s'est basée sur la déclaration antérieure du recourant. Même la quittance de la remise de l'argent au tiers, qui a été mise en avant, n'a rien pu changer. Rejet du recours du débiteur.
- Arrêt du 04 septembre 2025 (9C_417/2025) : Impôts cantonaux et communaux 2010-2013 (Schaffhouse) ; assistance judiciaire gratuite ; Les contribuables ne parviennent pas à démontrer en quoi l'instance précédente a rejeté à tort leur demande d'assistance judiciaire gratuite. Rejet du recours des contribuables en procédure simplifiée.
- Arrêt du 19 septembre 2025 (9C_426/2025) : Impôt fédéral direct et impôts cantonaux et communaux 2024 (Zurich) ; l'objet du litige devant le Tribunal fédéral était de savoir si l'instance précédente avait raison de ne pas entrer en matière sur le recours. Les explications de la recourante dans la procédure de première instance proviennent du milieu dit des objecteurs de conscience. En l'espèce, la recourante a délibérément déposé une requête quérulente, composée de griefs aberrants ou incompréhensibles et qui, sur de longues distances, ne présente aucun lien apparent avec la taxation fiscale litigieuse. C'est à juste titre que l'instance inférieure n'a pas accordé de délai supplémentaire pour corriger la situation conformément à l'art. 140 al. 2 en relation avec l'art. art. 145 al. 2 LIFD, resp. des normes cantonales correspondantes. Rejet du recours du contribuable A., dans la mesure où il est entré en matière.
Défaut d'entrée :
Les décisions sont classées par ordre chronologique en fonction de leur date de publication.